A Paris, Pete et Myka doit récupérer le couperet de la guillotine de Marie-Antoinette dans un musée. Lui est chargé de s'emparer de l'artéfact, elle, s'occupe des gardiens. Du côté de Pete, tout ne se passe pas comme prévu. Suspendu par un fil, en tentant d'attraper un outil qui lui a échappé, il manque de se faire couper la tête par la lame, mais il réussit à la prendre. Ils s’en vont sans mal.
A l'entrepôt, Artie cherche la trace d'un artéfact et l'ordinateur désigne Unionville, une petite ville où des choses étranges se produisent : un enfant en cours de musique brise son violon contre un mur, une sœur se jette du haut d'un toit, et une veille dame tague un "fuck" sur un mur de la ville. Myka et Pete viennent de ramener le couperet à l'entrepôt et commencent à se disputer sur qui sera le chef et se lancent au visage toutes leurs petites erreurs de missions. Artie qui les voit et les entend depuis le bureau de l'entrepôt, les prévient par le micro, de se calmer pour ne pas activer les artéfacts, mais ils ne l'écoutent pas, beaucoup trop pris par leur conversation au ton élevé. Artie n'a d'autres choix que déclencher au dessus d'eux, une douche de gel neutralisant. Les deux agents se mettent finalement à rire.
A la pension de Leena, Artie explique à Pete qu'ils ne doivent pas emmener de négativité dans l'entrepôt 13, car l'énergie négative peut activer les artéfacts, mais Pete, lui, pense trop au fait qu'il faille un chef dans l'équipe qu'il forme avec Myka, et étant le plus expérimenté des deux, il dit que ça devrait être lui. Artie ne le contredit pas et lui affirme que c'est lui le chef, mais de ne pas en parler à Myka parce qu'elle est susceptible. Myka exprime à Leena à quel point Pete l'exaspère, et ce dernier arrive accompagné de Artie. Artie leur explique le cas de Unionville et leur demande de trouver l'artéfact qui provoque ces changements de comportement. Aussi, il leur prête les clefs de sa voiture, à laquelle il tient beaucoup. En privé, Myka dit à Artie que soit elle, soit Pete doit prendre les décisions, et il lui répond qu’elle est « le choix qui s’impose » et lui dit de ne pas le dire à Pete, parce qu’il est trop susceptible.
A Unionville, Pete et Myka ne s’entendent pas sur la méthode qu’ils vont aborder pour cette mission. Ils coupent leur discussion quand ils voient derrière eux la même vieille dame qui a fait le tag, détruire à coup de pieds un distributeur de journaux, juste pour ne pas payer. Elle entre dans un café et veut parler à un médecin qui est au téléphone et il lui répond qu’il veut profiter de sa pause. Elle s’arrête quelques secondes comme hypnotisée, avant de frapper la tête de l’homme dans la vitrine du café. L’homme le visage en sang est cherché par une ambulance. La vieille dame avoue à l’ambulancier qu’elle ne sait pas ce qu’il s’est passé. Myka discute à l’intérieur du café avec ce même ambulancier, et Pete fait de même avec le shérif Mac, à l’extérieur. Pete, « pour travailler sous couverture », dit qu’il est ici avec sa femme en lune de miel. Les deux agents de l’entrepôt 13 ne sont encore pas d’accord sur cette méthode qu’à employée Pete. Il se séparent : Elle, va voir Sœur Grace, la sœur qui s’est jetée du haut d’un toit, lui, le jeune violoniste qui vient de tenter de mettre le feu à son école de musique.
Sœur Grace dit qu’elle était sure à ce moment là, de savoir voler. Myka emmène le père Bred un peu plus loin pour lui parler en privé. En attendant, sœur Grace recommence et se jette du haut du toit de l’église. De son côté, Pete retrouve Mac qui lui dit que Tony Wilson, le violoniste, est dans le coma. Il lui révèle qu’il est des services secrets. Pour la sœur, rien de grave, une congère l’a sauvée, selon ce que Pete dit à Artie par le visiophone. Dans l’entrepôt 13, c’est le début des problèmes qui s’annoncent, comme un problème d’électricité. Pete et Myka font le point, rien ne semble relier les victimes ensemble. Myka attend l’ambulancier à qui elle a donné rendez-vous pour en savoir plus sur l’enquête. Il lui apprend que Meg, la vieille dame, a agressé le père Bred, alors qu’en temps normal, ils sont bons amis. L’ambulancier commence à avoir un comportement bizarre vis-à-vis de Myka, et ce, juste après avoir émit un temps de pose, comme prit par ses pensées.
En même temps, Pete se rend à une réunion des alcooliques anonymes pour les biens de l’enquête. Un homme ayant la même réaction que l’ambulancier va d’un seul coup au bar et demande de l’alcool, alors qu’il est sobre depuis une vingtaine d’années. Pete et Myka font un rapprochement entre deux victimes : ils vont chez le même thérapeute. Dave s’effondre et est amené à l’hôpital. Par le visiophone, Artie leur précise que ces gens risquent de bientôt mourir s’ils ne trouvent pas l’artéfact. Ce serait quelque chose qu’ils ont tous approché ou même touché. Par la même occasion, il les remotive et leur dit qu’il a confiance en eux. Artie cherche une anomalie dans le circuit électrique de l’entrepôt. Leena veut l’aider.
Pete est chez le thérapeute et en voyant une vieille montre à gousset, il pense que c’est possible que ce soit l’artéfact. Myka, elle, va voir le père Bred pour en savoir plus sur Meg, qui en fait n’allait pas chez le même thérapeute. Tout à coup, Myka change de comportement, et montre une totale aversion pour les hommes. Pete est menacé par Mac, puis arrive Myka. Il lui dit que l’artéfact est la montre et elle lui donne un coup de poing. Envoyée en prison, Pete la fait sortir, alors qu’elle ne voulait pas. Artie leur dit de se dépêcher à retrouver l’artéfact, ils n’ont pas beaucoup de temps avant que Myka, qui est affecté, ne tombe dans le coma. A l’entrepôt, Artie et Leena ne peuvent rien faire contre le piratage des réseaux électriques. Selon lui, le hacker cherche à localiser l’entrepôt 13. Pete et Myka reviennent sur leurs pas, et en déduisent que l’artéfact doit surement se trouver à l’église. Le père Bred leur dit que toutes les victimes sont venues dans son bureau. Ils comprennent. C’est en fait le fauteuil dans lequel il recevait les gens. C’est le fauteuil de James Bred, le père de la thérapie par l’hypnose. Artie leur précise que c’est dans les ressorts. Mac fait irruption dans l’église avec une arme à la main et une bombe à la ceinture, il pense qu’ils ont diffusé un virus dans sa ville. Myka décide de s’occuper de Mac, et Pete doit s’occuper de neutraliser l’artéfact.
Pete verse le liquide neutralisant sur le fauteuil, mais ça ne semble pas marcher. Il prend une hache et détruit avec peine le fauteuil. Mac reprend ses esprits. La bombe est prête à exploser, Pete l’emporte.
De retour à l’entrepôt 13, Pete et Myka disent à Artie que la seule chose qu’ils ont pu récupérer de sa voiture, est son autoradio, mais en fait, ils lui font une blague pour se venger de ce qu’il leur a fait croire en disant à chacun que c’était lui le chef. Fiers d’eux, ils s’en vont.
Les problèmes électriques de l’entrepôt continuent. Un message du pirate apparaît sur le panneau de contrôle électrique : « toc toc ».